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| | | Capa et son imagination |  |
| | | Auteur | Message |
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Capa
S'initie
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Localisation : Suisse
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| | Sujet: Capa et son imagination Lun 8 Aoû 2011 - 12:08 | |
| Coucou les filles ! Bon, je me suis dit qu'il fallait que je me lance. Alors que je vous explique. Je tiens un blog où je raconte des choses et d'autres. J'aime beaucoup ce blog parce qu'il me permet d'écrire. J'en ai toujours tenu où j'écrivais des poèmes, des textes où j'étalais ce que je ressentais. Très enfantin tout cela. Il y a quelques années, deux ou trois, j'ai commencé à écrire un roman. Mon premier essais, qui s'est plus relevé être ma thérapie qu'un roman. La seule personne au courant était celle qui était ma meilleure amie. Elle me le relisait et corrigeait. Puis, ce fût à son tour de vouloir écrire son roman. Je l'ai suivi dans l'aventure, mais après on a eu des histoires et bref ! Et puis j'ai repensé à ce que j'avais laissé dans la mémoire de mon ordi... Et je me suis dit que c'était mon envie et que je devais la réaliser ! Alors je me suis laissée emporter par ma propre histoire. Pour le moment, j'avance en mode patchwork ! Je ne sais pas si c'est la meilleure idée, mais je travaille comme ça. J'ai mes personnages et je sais dans quel sens je vais les faire évoluer. Mais j'ai besoin de quelques conseils. Alors, je vous présente quelques chapitres que j'ai écrit, qui sont en cours d'amélioration... J'écris pour moi, même si j'espère un jour publier en vrai, ce que j'ai fait... Je ne m'attends pas que ce que je vous montre aujourd'hui soit un best-seller... Mais j'aimerais des avis, et si je dois m'arrêter tout de suite, c'est mieux ! xD Je n'aime pas montrer mon travail aux personnes que je connais, car je n'ai pas assez confiance en eux pour leur montrer ça... Faut que je m'arrête ! Sinon vous ne lirez pas mes quelques passages ! C'est le chapitre, je le vois en prologue. Incompréhensible mais en même temps, je viens de me rendre compte, qu'il est révélateur... Je l'ai appelé : Tic Tic Tic - Spoiler:
C’était un manoir ancien, comme on les voit dans les films. La nuit baignait l’endroit, ce qui le rendait plus horrifiant que d’habitude. Je n’y étais jamais allée avant. D’ailleurs, je ne me déplace que rarement, surtout par cette voie. Et c’est là que je l’ai vu pour la première fois. Au sommet des escaliers, il se retournait pour me regarder. Ses habits étaient aussi sombre que l’endroit et son visage n’avait aucun trait. Je n’arrivais pas à distinguer ce que j’avais en face de moi… La scène me terrifiait. J’aurais voulu me réveiller à ce moment-là mais je savais que c’était impossible, n’arrivant pas encore à me contrôler, ce genre d’incident arrive parfois. Pétrifiée, je l’observais et il faisait de même. Etait-ce un humain ? Un homme ? Un esprit ? Je n’en savais rien. J’avais l’impression d’être dans un film d’horreur poursuivie par une chose inconnue, sauf que je n’étais pas poursuivie et que la chose n’émanait aucune onde malveillante.
J’ai attendu et même cru voir passer un enfant passer entre nous, monter les escaliers quatre à quatre et jouer à cache-cache avec quelque chose que nous ne voyons pas. Puis il m’a adressé la parole, si on peut dire ça comme ça. C’était très court, froid comme tomber sur du marbre… J’ai cru qu’on me versait des litres d’eau glacée. Il n’a dit que trois syllabes, comme si ça me suffisait à comprendre ce qu’il voulait. Il m’a juste effrayée et prononça lentement : « tic tic tic ». Mais cela sonnait comme un grincement sur aigu qui me donnait encore plus la chaire de poule. Il semblait rire, comme si ce qu’il l’avait dit le rendait fier. Son rire silencieux était si froid, il m’a gelée sur place. Il semblait machiavélique. J’avais peur de tout perdre si je me réveillais. Craintive, je me suis sentie vide comme si tout ce que j’aimais, ce qui me rendait heureuse allait s’effacer dans les jours à venir. J’essayais de me persuader, j’avais certainement tort ! Après tout ce n’était qu’un rêve !
Une rencontre avec un des personnages que j'aimerai utiliser, à la base, je voulais que mon personnage principale soit le narrateur de l'histoire d'Anna... Mais finalement, je ne sais pas ce que ça donnera. - Spoiler:
La première fois que j’ai vu Anna, j’ai été très intimidée. Elle était grande et très jolie. Sa chevelure blonde tournoyait autour d’elle, comme si elle dansait une valse. Tous les mouvements d’Anna avaient l’air calculé et gracieusement posés. Son regard émeraude cachait bien des secrets et semblait découvrir les nôtres, même s’ils étaient profondément enfouis. J’avais l’impression qu’elle lisait dans mes pensées, alors je m’efforçais, comme je l’avais souvent fait, à penser à cet écran noir qui me calmait et me donnait l’impression de fermer mon esprit. Je la vis sourire, ce n’était pas ce genre de rictus qui voulait dire : « Je sais tout de toi, je suis plus fort » mais ça avait l’air sincère.
- Salut, moi c’est Anna ! Et toi ?
Ce sont les premiers mots qu’elle m’avait dit, j’aurai pensé à quelque chose de moins naturel comme première phrase ! Elle souriait de plus belle en attendant ma réponse.
Ce sera un chapitre un peu spécial, il est écrit d'une manière qu'en correspondance mes prof's m'auraient frappé à mort ! Enfin... C'est le début de l'action, enfin je ne l'ai pas encore écrite. Mais je sais qu'elle sera à la fin de ce chapitre. Faut juste que je trouve les mots. Attention, c'est long... J'espère que vous aurez la patience de le lire et encore plus de me donner un avis constructif ! Parfois, j'ai vraiment l'impression d'écrire comme une enfant de 5 ans ! Le train : - Spoiler:
« Le train me berçait, je lisais mon livre et entendait Pako rejoindre les ronflements de cette bête de ferrailles. Je n’étais pas à l’aise, je sentais que quelque chose ne tournait pas rond. Mais je me disais que ça ne devait être que mon imagination, comme d’habitude ! Puis je me suis souvenue… Le nez collé à mon livre, sans réellement le lire, je me suis rappelée de ce rêve étrange fait toutes les nuits dès que j’avais choisi la date de mon voyage. Ce train qui explosait, mais j’arrivais à m’en sortir. Ce train qui se déchirait de ses entrailles pour accueillir la mort de nombreuses victimes. Assassinées par des hommes sans nous donner de véritables raisons. Je sentis mon corps trembler, et la panique m’enlaçait, je sentais sa main froide se poser autour de ma gorge pour m’empêcher de crier. »
Anaïs leva les yeux de son livre, deux jeunes hommes chuchotaient tout en rigolant. L’un d’eux, tenait un morceau de papier qu’il avait gribouillé et lorsqu’elle quitta son livre, le regard qu’elle leur envoya était le même que celui qu’il avait dessiné. Ils éclatèrent de rire sans retenue et se sentirent obligés de lui montrer le dessin. Anaïs ne savait pas si elle devait rire ou frapper ces deux clowns, elle leur sourit. L’un était blond, il avait un rire discret mais un sourire charmeur qui aurait fait tomber toutes les jeunes filles de ce train. Il avait l’air de le savoir car il l’usait à outrance. Ces yeux étaient bleus, Anaïs les trouvaient apaisants car ils faisaient penser à la mer lorsqu’il fait nuit. En effet, ils semblaient éclairés par un rayon de lune qui leur donnaient un effet argenté. Il avait l’air d’être un peu plus grand qu’Anaïs, mais pas trop non plus. Il devait avoir une taille moyenne, et avait des épaules solides. Le dessinateur, quant à lui était grand et fin, ses cheveux en batailles étaient chocolats. Son regard ressemblait à un feu de joie, et en même temps, il était sucré comme une pâtisserie. Pendant qu’ils se détaillaient, Pako bougea dans sa caisse, dans la discrétion que lui connaissait Anaïs, il avait prévu de se faire remarquer lui aussi. Il regardait les deux hommes avec ses yeux sombres, et ils commencèrent à discuter. Le dessinateur avait un accent anglais, mais il parlait très bien français.
- Je m’appelle Raphael, et voici mon meilleur ami Dylan. Et toi, comment t’appelles-tu ?
- Anaïs, c’est mon chien Pako.
Anaïs souriait, car elle se disait que ces présentations étaient vraiment pathétiques ! De plus, le fameux Dylan, ponctuait chaque phrase qu’ils prononçaient par des « What ? » et Raphael traduisait chaque phrase qui avait été dite. Ils parlaient dans la bonne humeur, ce qui aurait pu faire oublier à Anaïs son rêve. Raphael racontait qu’ils allaient voir la famille de Dylan après avoir été visité la sienne. Ils venaient d’Angleterre, mais lui, parlait français à cause de sa famille. Pako semblait s’être rendormi, et les trois jeunes gens souriaient. Autour d’eux, les gens dormaient, lisaient, parlaient… Quand le train s’arrêta au milieu de nul part.
Merci d'être sincère, si c'est nul : dites-le ! =) | |
| | | | Chnoukette
S'intéresse
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| | Sujet: Re: Capa et son imagination Lun 8 Aoû 2011 - 12:33 | |
| Moi j'aime bien ! Certe certaines choses sont à améliorer et pour l'instant je n'ai pas suivi toute l'histoire mais j'aime bien comment tu racontes et surtout comment tu décris tes personnages. Je pense qu'avec du boulot tu peux faire quelque chose de super. En tout cas je souhaite longue vie à ce bébé roman  | |
| | | | Capa
S'initie
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| | Sujet: Re: Capa et son imagination Lun 8 Aoû 2011 - 13:24 | |
| C'est gentil ! ^^ Si tu as vu des trucs trop louches, tu peux me dire ^^
Mouais mon histoire là est complétement en désordre ! Je vais essayer de la mettre correctement, et qui sait... peut-être la publierais-je ?! Enfin, si j'ai des avis positifs, car si c'est super négatif, va falloir que j'écoute les gens !
Merci Chnoukette ! ^^
Je lui souhaite une longue vie aussi !! ^^ | |
| | | | Sunday
Débarque
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| | Sujet: Re: Capa et son imagination Ven 4 Nov 2011 - 22:56 | |
| C'est bien, on croirai presque que c'est un auteur qui a ecrit ça (; | |
| | | | Capa
S'initie
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| | Sujet: Re: Capa et son imagination Mer 16 Nov 2011 - 23:19 | |
| Je viens de voir ton message Sunday ! Comme une grosse tourte ! Pourtant, je viens régulièrement ! Mais celui-là, il s'est caché !!! Merci beaucoup !!! C'est très gentil !! Je vous avez partagé des extraits d'un roman que je pense terminer... Mais j'ai commencé deux nouvelles aventures... Je tiens deux blog-fictions. Que dire sur eux ? Le premier raconte une histoire, une histoire simple et banale... L'idée m'est venue après avoir lu le livre de Maupassant, Une vie. Mais j'ai abandonné l'idée, puis l'est reprise. Je vous laisse découvrir deux petits extraits : - Spoiler:
Treize petites flammes, treize bougies. Aujourd'hui, j'ai treize ans. Certains parlent de chiffre porte-malheur, d'autres de porte-bonheur. Moi, je m'en fiche un peu ! J'ai treize ans, ça ne signifie rien !
Autour de moi, mes parents, ma famille me souhaite un joyeux anniversaire. Il faut dire qu'ils s'amusent plus que moi. Ils boivent et rient, alors que je reste là, à part. Je pense à mes amis, j'aurais bien aimé fêter avec eux ! Je pense à Logan... Le beau Logan ! C'est le gars le plus mignon de ma classe ! Il est grand et beaux ! Ses yeux verdures me font rêver ! Quand il me regarde, j'ai l'impression de m'envoler pour l'Irlande. Son sourire illumine toute une pièce... (C'est peut-être à cause de son appareil dentaire ?!)
J'ai été sortie de mes pensées par ma tante qui m'appelait ! Elle était toute excitée et me demandait d'ouvrir son cadeau... Persuadée que son cadeau me plairait plus que les autres, qu'elle avait choisi la chose exceptionnelle qui me rendrait folle de joie. En y repensant, faire un peu de comédie pour montrer à tout le monde que j'ai aimé leurs cadeaux les rendra heureux, alors je me lance...
Je déchire le papier qui entoure une petite boîte. L'emballage doré et argenté tombe délicatement par terre, je retire alors une boîte bleue sombre et l'ouvre. A l'intérieur, couché sur un coussin blanc, se trouve une fée en argent. Le petit pendentif est reliée à une chaîne en argent. Un collier, et tout le monde s'émerveille !
- Spoiler:
C'est ainsi, dans les petites joies, que l'on renaît de nos cendres. Lentement mais sûrement, nous avons guéris pour profiter de ces petits instants de bonheur. Des amours et des amis sont partis quand on était plongé dans la grisaille des journées moroses qui se suivaient sans jamais donner l'impression que la vie offrira des merveilles. Quand on redécouvre petit à petit, on remarque ce manque, ce vide que les jours, les mois ou même les années ont laissé se créer. Une rechute s'impose alors... Elle n'est que minime par rapport à ce que j'avais alors affronté. Elle n'écorche qu'un genou, si je peux imager cela ainsi. C'est simplement parce que nous apprenons à marcher à nouveau. Et comme un enfant qui fait ses premiers pas, il nous arrive de tomber.
L'amitié... Voilà quelque chose d'important, surtout dans ma vie. Ils me font rire, ils me soutiennent, je pleure avec eux. Ils sont précieux. Mais qu'en est-il quand les meilleurs s'évaporent ? C'est comme un vide qui se creuse. C'est un manque et une perte de confiance en les autres, ce sont des secrets que l'on ne dévoile plus. Mais avec le temps, les mauvais amis sont remplacés par ceux qui sont dévoués et forts. L'amitié est comme une roue, elle tourne, tourne... Et un jour s'arrête et la flèche nous dévoile les noms de ceux qui seront là. Peut-être jusqu'à ma mort, peut-être pas, finalement qui sait ? L'amitié, une fois trouvée, est la ligne de départ d'une nouvelle vie... De ma nouvelle vie !
Je ne sais pas si la pub pour blog est permise, alors si vous voulez lire en entier, envoyez-moi un MP, je vous donnerais les liens... Je vous publierais volontiers les chapitres ici, mais ça va être complexe maintenant ! ^^
Mon deuxième bébé... XD Non j'exagère ! Ma deuxième histoire est une fanfiction qui reprend le monde de JK Rowling. J'ai peut-être 20 ans, mais je suis une grande enfant qui est triste de voir son enfance se terminée en même temps que les aventures du petit garçon aux cheveux noirs et avec une cicatrice sur le front. J'ai repris son monde, et j'y ajouté ma part... ça peut être nul, mais en tout cas c'est un exercice complexe ! Je ne suis pas vraiment à la hauteur, mais j'adore me plonger dans cet univers là et écrire sur Holly... Et encore deux extraits : - Spoiler:
Le lendemain, Holly se rendit dans un gare moldue. Elle vit plein de sorciers et sorcières, elle n'en avait jamais vu autant auparavant. De loin, elle apperçut le garçon du Chemin de Traverse. Il avait une valise aussi grosse que la sienne et au-dessus, se perchait une cage où une chouette blanche était secouée. Holly ne cessait de penser : quel magnifique oiseau ! Il avait l'air perdu et regardait un peu partout, l'envie lui prit de lui montrer où était le chemin. Mais ses parents la tirèrent dans un quai. Ils dépassèrent une famille où parents et enfants avaient les cheveux roux. Puis arrivèrent enfin sur la voie 9 3/4. Elle suivait ses parents qui marchaient droits et fiers, certaines personnes les regardaient avec un air méfiant voire même rempli de haine. Holly ne comprenait pas pourquoi, mais elle pensa de noter la question afin de leur demander. Perdue dans ses pensées, elle fut "réveillée" par sa mère qui hurlait :
- Lucius ! Toi ici ?
Elle semblait illuminer d'une lumière nouvelle. Elle avait l'air heureuse, comme si elle ne l'avait jamais été. Et Holly pu enfin apercevoir ce Lucius, dont sa mère a probablement été amoureuse. Alors qu'elle levait le regard pour voir cet homme imposant, charismatique et froid, elle entendit sa mère affirmer :
- Ton fils te ressemble vraiment ! Il a le même regard que toi, la même expression.
Le fameux Lucius souriait poliment mais quand il entendit cette phrase, son sourire était fier. Il répondit par des courbettes polies à Margaret, sa voix d'acier grinçait. Puis Holly posa son regard sur celui du fils, il la regarda avec un sourire hautain. Elle ne put s'empêcher de sourire, de ces sourires naturels et moqueurs qui ne se retiennent pas.
- Margaret, laisse-moi te présenter mon fils : Drago.
Drago prit un air poli et serra la main des parents de Holly, tout en jetant un regard en coin à cette dernière, qui se présenta à lui.
- Spoiler:
Harry, Ron et Percy rejoignirent le premier trio arrivé. En temps normal, les repas ressemblaient à de véritables festin de roi, mais en ce jour de Noël, il était encore plus impressionnant. Les Weasley et Harry s'amusaient avec des pochettes surprises qui explosaient et offraient des choses surprenantes. Holly participa, elle-aussi, à cet engouement ! "Le professeur Dumbledore avait troqué son chapeau pointu de sorcier pour un bonnet à fleurs qu'il avait trouvé dans l'une de ces pochettes, il riait en écoutant Flitwick lui raconter une histoire drôle." Il régnait dans cette grande salle une bonne humeur enfantine. Les élèves qui étaient restés pour ces vacances faisaient moins attention à leur appartenance. Lorsqu'ils quittèrent la table, les trois plus jeunes avaient les bras chargés d'objets découverts dans les pochettes.
Puis, ils passèrent l'après-midi à faire des batailles de boules de neige dans le parc. Harry était très doué à éviter les grosses boules de neige qu'envoyaient Fred, ce qui l'agaçait, alors il commença à viser Holly, qui elle, était la proie la plus facile. Percy ne se prêtait pas au jeu, mais il souriait en regardant la scène qui se déroulait sous ses yeux. George prenait, bien souvent, la défense de Holly qui recevait les bombardements de Ron, Fred et Harry.
- Holly, souffla-t-il à son oreille, si tu veux réussir à toucher quelqu'un, vise Percy, lui conseilla-t-il.
Elle regarda le jeune préfet mais n'osa pas... Alors, George lui donna une boule dans la main et lui ordonna :
- A trois ! Un... deux... Trois !
Deux boules de neiges volèrent sur le plus âgés des Weasley encore en âge d'être à Poudlard. Celle de George frôla son oreille et atterrit quelques mètres plus loin, tandis que celle de Holly se pointa sur le nez du Préfet, mais ça personne ne le savait. Ils ne virent qu'une face barbouillée de neige virée au rouge et une bouche commencer à hurler de colère. Et, comme pour riposter, les trois autres le firent taire en se lançant sur lui pour le clouer dans le sol froid et enneigé de décembre. Ils s'amusèrent ainsi tout l'après-midi. "Puis, frigorifiés, mouillés, essoufflés, ils retournèrent à l'intérieur." La journée touchait à sa fin. Harry et Ron décidèrent de retourner à la salle commune de Gryffondor afin de se changer et de se réchauffer, ainsi que Percy. Fred et George avait prévu quelques blagues. Quant à Holly, elle se décida à retourner dans son dortoir. Ils se souhaitèrent une bonne soirée et une douce nuit, puis se quittèrent.
Descendant les marches qui l'amèneraient enfin dans un lit chaud, elle avançait lentement, sourire aux lèvres. Elle venait de passer son plus beau Noël. Avec ses parents, jamais elle ne s'amusait ainsi, et comme elle n'avait ni frère, ni soeur, le temps passait lentement. Regagnant la salle commune de Poufsouffle, elle entendit des pas courir derrière elle. Pourtant, ils n'étaient pas nombreux les élèves à passer par là, puisqu'ils étaient presque tous dans leurs foyers respectifs. Des respirations saccadées, comme si une personne courrait. Elle se décida à se cacher dans un coin. Appuyée contre le mur gelé, son corps tremblait de froid, l'humidité de sa bataille dehors rendait la pierre encore plus froide. C'est là, qu'elle le vit... A bout de souffle, un air qui ne lui ressemblait pas. Il la cherchait, il l'avait enfin trouvé et un sourire se dessina sur ses lèvres.
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| | Sujet: Re: Capa et son imagination | |
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